Lénaïg Cariou

Lénaïg Cariou cherche, écrit, traduit. Après des études à l’École normale supérieure, et quelques temps aux États-Unis et Berlin, elle prépare actuellement une thèse à l’Université Paris 8 et Paris Cité sur Emmanuel Hocquard l’aventure poétique et éditoriale Orange Export Ltd (1969-1986). En 2019, elle a cofondé, avec Camille Blanc, Shira Abramovich et Nadia Wolff, le collectif de traduction transatlantique Connexion Limitée / Limited Connection ; ielles ont traduit ensemble le travail de Mónica de la Torre, Eleni Sikelianos, Cole Swensen, Adrienne Rich, Kay Gabriel et Laura Vazquez. Elle a coédité la revue de poésie Point de chute jusqu’en 2022, avant de rejoindre le collectif franco-suisse Viscose, fondé par Cléa Chopard, Anne-Lise Solenilla et Julia Sorenson, avec qui elle pense des formes renouvelées d’écriture et de micro-édition érotique. Au printemps 2024, elle a rejoint le collectif « Poésie Commune », aux côtés de Laure Gauthier, Elsa Boyer, Sévérine Daucourt, Frédérique Cosnier-Lafarge et Bastien Gallet, avec qui elle dirige la section poésie de la nouvelle revue Les temps qui restent et la collection « Poésie » des éditions MF.

Ses deux premiers livres de poésie, À main levée (LansKine), La poésie n’est pas une bonne fille (Le Coin de la rue de l’enfer, avec Liliane Giraudon et Maxime Hortense Pascal) sont parus en 2024, et son troisième, les dires (POL), est à paraître en 2025.